A l’heure où le prêt entre particuliers a le vent en poupe, il n’en demeure pas un crédit sans risque. Bien que crédit sans banque représente un financement sur Internet facilitant les recours aux prêts, il existe des pièges qu’il convient d’éviter pour profiter en toute sérénité d’un financement lorsque vous vous trouvez dans le besoin. Aussi, voici les principaux pièges à éviter et les précautions à prendre avant et pendant la souscription d’un prêt entre particuliers.
Plan de l'article
La reconnaissance de dette et litiges
Aussi avantageux soit le prêt entre particulier, il est toujours préconisé de rédiger un contrat de crédit en bonne et due forme. Dans le cadre de ce crédit sans banque, le contrat est souvent dématérialisé, dans la mesure où toutes les démarches sont effectuées en ligne. Malgré ce côté digital, le contrat de prêt est une reconnaissance de dette en toute légalité, permettant ainsi d’éviter les litiges. Le document doit mentionner entre autres le montant de la somme empruntée, la majoration par le taux d’intérêt, les mensualités et/ou le délai de remboursement, et éventuellement les pénalités à appliquer en cas de retard de remboursement.
A lire aussi : La garantie d’assistance d’une assurance automobile
Plateformes de financement participatif contre l’escroquerie
Dans la mesure où le prêt entre particuliers connait actuellement un succès grandissant, le secteur n’est pas pour autant à l’abri des escrocs en tout genre. L’arnaque au crédit sans banque est même devenue monnaie courante, faisant des personnes dans le besoin, donc logiquement plus faibles psychologiquement et faciles à influencer, de parfaites cibles. La précaution est donc de mise si vous êtes à la recherche d’un emprunt entre particuliers. La règle d’or est de toujours privilégier les offres disponibles sur les plateformes de financement participatif, mettant en relation demandeurs et investisseurs. Il ne faut surtout pas se laisser amadouer par les faux prêteurs traquant leurs proies dans les forums, etc.
L’usurpation d’identité souvent négligée
Parce que l’usurpation d’identité est une autre forme d’abus de plus en plus fréquent sur Internet, il convient également de privilégier les plateformes d’investissement agréées par les autorités françaises. Cette précaution s’adresse principalement aux demandeurs de crédit sans banque, dont l’identité peut être utilisée à des fins illégales pour occasionner des conséquences lourdes pour la victime, tant financièrement que psychologiquement. La vigilance est d’ailleurs de mise lorsque le « faux prêteur » exige le versement d’une caution par exemple, en requérant un paiement sur Internet.
A lire en complément : Le rôle d’un cabinet comptable à Bruxelles