Les États-Unis d’Amérique ont toujours été une nation hospitalière, car ouverte à l’immigration depuis de très longues années. Qui plus est, de nombreux programmes de légalisation des immigrants aux États-Unis ont vu le jour. Dès lors, les migrants bénéficient d’un traitement convenable, adéquat et aussi des aides de la part du gouvernement états-unien (logement, alimentation, soins médicaux, etc.). Cependant après l’arrivée au pouvoir de l’ancien président Donald Trump, les considérations n’ont plus été les mêmes envers eux. De plus, ce dernier s’est prononcé défavorablement sur la question des migrants pauvres aux USA. Quel est donc cet avis ? Découvrez-le en lisant.
Refus d’aide aux migrants légaux des USA par Donald Trump
La logique de l’ancien président Donald Trump était simple, user de tous les moyens restrictifs pour mener un combat sans merci contre l’immigration légale. Généralement, les immigrants légaux sont des ressortissants d’autres pays, en possession de leurs papiers de séjour, à savoir : une carte verte, un visa ou encore un ESTA USA. Mais attention, un ESTA USA n’est pas un visa. Il est plutôt une forme d’autorisation qui dispense le migrant qui le possède, d’un visa officiel, pour une durée de séjour de moins de 90 jours. Contrairement, le visa est délivré par l’ambassade, et fait pour des séjours au-delà de 90 jours. La carte verte, elle, possède une validité pareille à celle du visa, mais ne permet aucun droit de vote au migrant.
A lire également : Quand la joaillerie investit les bagues de fiançailles
Ceci dit, l’ancien président américain Trump a opposé un refus catégorique à l’immigration. Et pour mettre à exécution son projet de refus d’aide aux migrants légaux d’autres pays, l’ex-président des États-Unis s’est attaqué aux procédés d’obtention de la carte verte, du visa ou de l’ESTA-USA. Il procéda alors à : la remise en cause des procédures de green card, l’arrêt de délivrance des visas de travail (avantageux aux migrants), etc. Plus précisément, il stipule que pour enclencher une procédure d’obtention d’une de ces pièces, le migrant devrait disposer du pouvoir financier nécessaire pour le faire. Autrement dit, tout migrant pauvre (incapable de satisfaire ses propres besoins sans l’aide de l’état) est refusé d’accès aux pièces énumérées. Dès lors, le gouvernement de Trump s’était désengagé, de toute aide envers les migrants.
Autres mesures anti-migrants de Donald Trump aux USA
Pour mener à bien son projet capitaliste et à ségrégation raciale, Donald Trump ne s’est pas contenté de refuser seulement les aides aux ressortissants légaux d’autres pays. Après avoir alourdi les procédures administratives des pièces (visa, ESTA-USA et carte verte), il fit sorti deux principaux décrets présidentiels contre l’introduction sur le territoire états-unien. Le premier décret interdisait l’accès des États-Unis aux migrants des pays de religion musulmane. Il s’agit notamment de six pays, que sont : la Somalie, la Libye, la Syrie, le Soudan, l’Iran et le Yémen.
A découvrir également : Garage Peugeot Saint Cannat : pour un achat sécurisé
Le second décret annonça la suspension du programme d’aide aux réfugiés. Ce qui a pour effet de réduire sévèrement le nombre de réfugiés aux USA ; soit de 110.000 en 2017 à 45.000 en 2018. Notifions également que le premier décret avait déjà occasionné de nombreuses arrestations. Finalement, entre ces différents décrets et l’érection d’un mur anti-migration clandestine (frontière Sud), les frasques de l’ex-président contre les migrants se comptent par centaine.